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n'importe quel gland
j'aimais un silence, un silence en là mineur, l'araignée d'une toile
et puis on s'envoie en l'air avec le premier venu, de nos rêves incompétents
il y a quelque chose au bout de laquelle j'eusse préféré
être dispensé de pendreje n'appelle pas ça manger par terre, je fais tout
pour m'échapper, fuir la faune, assourdir d'un geste las
ces grincements de chatte, je fais tout, tout absolument tout
pour me sentir rien, baignant dans le formol de rien, ces quintessences en berne, ces printemps
lubrifiantsje me rappelle pas comme il faut, mais comme il faut
n'existe pas. je te touche tu me touches - les petits nichons le porte-avion,
les choses aussi qu'on a du perdre en regardant ailleurs, sainte déréliction
comme faire l'amour à la très sexy
cabine téléphonique qu coin d'la rue
parfaitement H.S.ne m'achète pas de fleurs. pas que je n'aime pas les fleurs simplement les fleurs
s'usent
les yeux sur de fausses épitaphes. je me gratte les couilles, je ne pense pas à toi je pense
à n'importe quoi déverrouillant l'image, plus vite déformée qu'une âme prompte
à se déshabillerun jour je ne mourrai pas: j'attendrai
le prochain tram, personne
me dira d'où il vient, ni pourquoi - je crois j'irai sucer
mon pouce dans un coin, je lui dirai suce-moi, mon pouce
. ça en jette
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