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naufrage des bittes
la mort ne sera pas plus qu'ailleurs le lieu ni l'occasion de quelconques retrouvailles. chez moi fut bien cette niche à la dérive, cependant qu'assignée à sa borne
et en l'absence de fleurs...j'ai mangé mon mouchoir, avec tout ce qu'il avait essuyé et c'est pas propre, pas franchement
propre -
toute la crasse et n'empêche...vidé ma p'tite crasse, allez hop, vidé ma p'tite crasse. se récure l'œil.
il n'y a pas de pardon, et les accusations foireuses de même
tombent à l'eauc'est pas aller quelque part c'est enfin poser le pied
sur un sol absolu, lune ressuscitée, Berck en plein
jerusalem, l'éden vissé au nombril astrophysique
d'iseult à la mort lente, mais suffisanteil aurait fallu mettre des noms sur les visages même si cela n'aurait sans doute pas suffi à empêcher
leur dessèchement, leur fripement, les âmes telles des bulles soufflées à travers
le cercle d'une vulve, n'importe quelle
vulvebien-sûr que pas. bien-sûr que plus. le son galope or les oreilles
s'enferrent de silence
- il faudra rompre cela, aussiil y avait un homme, et toujours pire qu'un homme.
se levait sans rien dire, l'allumette qu'on suce et cætera
: nos pneus qui s'usent, pensa t-il, et pas grand chose de plus...
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