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tout comme un monde en boucle
mourir se referme sur moi
il y a un dieu, quelque part et qui me cherche, comme à tâtons
peut-être n'en aurai-je pas le temps, l'instant-clic - le départ à l'oubli...il faudra les jeter un à un par-dessus bord, les mégots...
ne change rien au jour qui change, pas une ride, une fissure
sur le mur d'en face, pourtant si intérieur...tant que le pire est certain, dieu ne serra jamais loin, il parle sept langues dans sa bouche
et nulle part ne s'y distingue
de quelque partje voudrais enregistrer le temps
où l'on parle pour rien, ou même de presque rien
quelqu'un s'habille, se déshabille: il est toujours aussi nu
il fait toujours aussi froidj'ai la main morte, rien ne sert de la prendre, de tendre un doigt à prendre
quand tu te décides à appeler de l'aide il est déjà trop tard, roland des lézard blancs
nul ne t'entend plus, nul son ne sort de l'arcle sauveur s'est rasé la barbe ce matin - comment dès lors le reconnaître?
juste une joie, une joie malhabile sans doute mais une joie debout, une joie qui fait joujou
avec un truc chargé, non chargé - ça, l'histoire nous le dit pas...
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