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les gens cherchent okuni
cette odeur me rappelle un homme, car c'est là l'odeur d'un homme
et tout homme en fait part à sa chemise
à force de nuits vertes
d'engins mal contrôlés
ou si peu contrôlables...
j'ai piqué vers la merchante et déchante. petit animal blessé...
d'une blessure un lampadaire
la nudité qu'on cache sous la blouse, les points d'un permanent suspens
comme quand t'as mal quelque part et que soudain, ben t'as plus malvenir de très loin et compter jusqu'à un
un d'un extrême hasard
et puis recommencer - recommencer jusqu'à tomber sur, je ne sais quoi moi : un
cerisier sans noyau
ou de plus loin encorele chien qui sommeille en moi a mangé son gadjo
et nul ne le retient, quand n'en reste que les eaux
j'ai flaque qui jouit sous le pied gauche, et qui se retourne s'appuie
sur un vide à propulsionils redeviennent lointains, les horizons - et leurs troupeaux s'égarent
c'est comme un homme l'œil vide, saute à la corde un homme en corps
se prend la porte ouverte, ou pour un courant d'air - se détraque
oui, se détraque
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